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Roberto Gaspar, partenaire CCAP des entreprises neuchâteloises

Conseiller d’entreprises à la CCAP depuis quelques mois, Roberto Gaspar fait le lien entre l’institution et les quelques 700 sociétés neuchâteloises qui lui ont confié la gestion de leur prévoyance professionnelle. Rencontre.

Roberto Gaspar était entré à la CCAP comme stagiaire. (photo tripack.ch)

Il est le répondant privilégié des clients entreprises de la CCAP. Roberto Gaspar est conseiller d’entreprises. Son job, assurer le lien entre la CCAP et les quelques 700 sociétés qui lui ont confié la gestion de leur prévoyance professionnelle. Entré en fonction l’automne passé, au plus fort de la pandémie, Roberto Gaspar espère maintenant que la situation s’améliore afin qu’il puisse aller à la rencontre de ses clients. « J’aime le contact, pouvoir aller expliquer ce domaine parfois complexe qui est celui de la prévoyance ».

En tant que conseiller spécialisé en entreprises, Roberto Gaspar est amené à proposer aux clients les plans de prévoyance les plus adaptés à leurs conditions. Ceci d’autant que le portefeuille des clients entreprises de la CCAP est à l’image du tissu économique neuchâtelois : très diversifié et parfois spécifique.

Stagiaire en 2002

Depuis qu’il est entré à la CCAP en 2002, Roberto Gaspar a acquis une connaissance parfaite du terrain. « Quand j’ai commencé à la CCAP, j’étais le plus jeune », se souvient-il. Car c’est en tant que simple stagiaire que Roberto a fait ses premières armes dans l’entreprise. « Après ma maturité en langues modernes passée à Neuchâtel, j’avais suivi une année d’université en sciences économiques. Mais cela ne me convenait pas. Il me fallait quelque chose de plus concret. J’ai alors décidé d’entrer en HEG. Pour cela, je devais d’abord faire un stage pratique d’une année. J’ai décroché un stage à la CCAP. Et après une année, on m’a proposé un poste ».

La ville de Neuchâtel, c’est là où Roberto Gaspar a ses racines. (photo tripack.ch)

Des racines à Neuchâtel

Roberto Gaspar a alors intégré le service des assurances collectives avant d’en prendre la responsabilité quelques années plus tard. Parfait pour cet homme de chiffres, qui aime l’exactitude et la rigueur. « Ce qui m’a tout de suite plu à la CCAP, c’est la proximité ». Un aspect qui revêt une grande importance pour lui qui, arrivé de son Portugal natal à l’âge de 12 ans, a fixé ses racines dans la ville qui l’accueillait. Marié à une Suissesse (ils ont deux enfants), Roberto ne se verrait pas quitter « sa » ville pour aller ailleurs. « J’aime le calme et la nature. Cette région est vraiment idéale ».

Mais ce désormais vrai Neuchâtelois voit son sang portugais toutefois bouillir à nouveau quand on lui parle de foot, et notamment du Benfica dont il est fan. Et surtout de la cuisine, car ce grand gourmand aime bien passer derrière les fourneaux pour retrouver les saveurs de son enfance.

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