Finaliste de « The Voice », le Neuchâtelois Loris Triolo poursuit son parcours dans la musique en allant enregistrer de nouveaux morceaux à Paris. Ceci grâce au soutien de la CCAP.
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Depuis quelques jours, il travaille en studio à Paris. Après être entré dans la lumière au printemps en participant à « The Voice », le Neuchâtelois Loris Triolo poursuit son rêve éveillé. Un rêve ? Pas sûr. « Mes ambitions ne sont pas des rêves, ce sont des objectifs », lance-t-il. Du haut de ses 18 ans, le jeune homme garde bien les pieds sur terre. S’il va enregistrer à Paris une série de morceaux, dont des inédits, sous la houlette du compositeur Nicolas Lassus, c’est bien pour apporter de nouvelles pièces à sa carrière naissante dans la musique, avec le souci du travail bien fait.
Le goût du travail
Réaliste, le jeune homme sait qu’à une époque où les gloires sont parfois éphémères, durer est le défi à relever. « Un tremplin comme « The Voice » n’est utile que si l’on s’en sert. Il faut du travail, beaucoup de travail pour avancer dans la musique », explique l’artiste. Ainsi, juste après l’émission qui l’avait vu propulsé jusqu’en finale, Loris a intégré l’aventure « Rodolphe », la comédie musicale mise en scène par Elie Chouraqui et qui a cartonné cet été au Théâtre du Passage.
Personnalité forte et attachante
La suite de son histoire, Loris est donc en train de l’écrire à Paris. « Et cela n’aurait pas été possible sans la CCAP ». En effet, notre institution a décidé d’apporter un soutien financier au jeune homme, comme l’explique Dimitri Kroemer, directeur général de l’institution. « Pourquoi Loris ? Dès le début de The Voice, j’avais décidé d’aider les organisateurs qui ont mis la tente au mail afin de voir l’émission ensemble. Il y a eu un grand engouement. Puis par la suite, j’ai rencontré Loris qui avait besoin du soutien financier pour lancer des essais. J’ai aimé son discours. Il transmet aux jeunes un espoir que tout le monde peut avoir sa chance, il une personnalité forte et attachante et il met notre région en valeur. C’est ce que l’on aime à la CCAP ! »